vendredi 31 mai 2013

La restauration du père

On est dans un pays, la France, qui manifeste fortement la haine du père patrimoine, haine du père tout court...
Il suffit de voir les rapports du Président "normal" avec son père, idem pour ceux de son ex -la Royal- avec le sien.

Au quotidien, nous avons des barbares qui nous jugent, barbares entourés d'experts es ragots, barbares qualifiés de JAF : Juge des Affaires Familiales. Ce qui revient à dire que se marier en France consiste à donner blanc sein à la barbarie, à lui signer un chèque en blanc. Le père perd tout ses droits.

Tous ces barbares font que la France s'oriente pour devenir un pays en voie de rien du tout. C'est l'anéantissement propre et net.

Que le père meure, d'accord qu'il meure. Mais c'est s'exposer aux foudres de sa renaissance, renaissance à laquelle bien sûr on ne peut croire.

Je suis un de ces pères, légalement socialement assassiné par un JAF (Elisabeth Lebreton) aux ordres d'une " personne prête à tout pour parvenir à ses fins " (ce qui est là une définition du terrorisme).

C'est aussi là toute l'histoire de "Kirikou et la sorcière", Kirikou empêché de grandir par une mauvaise femme -ce type de femme qui présentement règne en France, en fait un pays en voie de rien du tout-. Et à la fin de ce conte africain, la mauvaise femme se substitue à une femme bienveillante, et Kirikou rattrape sa croissance-developpement perdue.

C'est la restauration du père, de ce père que les grecs de l'antiquité ont placés en limite de leur monde, dans le ciel, le qualifiant de Zeus-Dieu-Jupiter, père dont l'on doit craindre les foudres.

Note : pour le clin d'oeil du destin, je viens de séjourner à Pékin au "Golden Phoenix Hotel", symboliquement donc un écho au Phoenix qui renait de ses cendres.